La patrouille étant une chose que l’on affecte rarement au troisième siège, l’inverse de la paperasse. Aujourd’hui était normalement un jour comme les autres bien qu’il fasse exception. Car le voici à présent à marcher dans les rues pavées de la cité d’Adalon. La raison étant simplement un manque d’effectif dû à l’oisiveté de certains, à l’incompétence de d’autres et aussi à la maladie quelques-uns.

La patrouille en question se voulait parcourir des ruelles proches de la porte de la cité. Et cela afin de contrevenir des petites agressions allant du simple vol à létale jusqu’à l’agression physique pouvant être dû à un excès d’alcool.

Observant les gens qui se trouvent par-ci et par-là. Par une journée au Soleil proche du Zenith, sept enfants jouent ensemble, l’un était un hollow tandis que les autres jouaient aux chevaliers. Un jeu assez classique. Et un moyen comme un autre rendre la précédente guerre moins lourde à porter sur les épaules de ceux qui ont pu la vivre, que ce soit au front ou bien à l’arrière. Chacun ayant connu ses propres difficultés.

Chacun leur tour il échangeaient leur rôle à ce petit jeu. Une stridente voix se fit entendre au coeur de la foule. Une femme qui semblait en vouloir à son mari, car ce dernier semblât s’être retourné pour admirer les arrières d’une dame qui passait par-là. Rien qui ne vaille d’intervenir. L’homme étant gêné par la situation et s'avouant coupable tout de suite pour éviter de n’entacher plus gravement son honneur que cela et la femme qui baissait peu à peu son ton. Après tout disait-elle pour conclure, il n’a fait que regarder sans pour autant toucher.

C’est alors que Mikael remarque une femme qui semblait presque comme perdue à l’entrée de la cité. Au seuil des portes, elle était là vêtue de blanc. S’approchant de cette dernière, il se demandait si cette dernière provenait d’ailleurs, ne voyant pas en elle une silhouette qui serait connue de sa mémoire. Mais cette dernière pouvait lui jouer des tours. Après tout, nul moyen en sa possession pour qu’il puisse se remémorer de chacun des visages d’Adalon. Les âmes y étant quelque peu trop nombreuses à son gout.

S’approchant d’elle sans prendre la peine de se faire discret.



-Veuillez m’excuser. Mais peut-être vous êtes-vous égaré ? Peut-être puis-je vous venir en aide ?



Le code de la chevalerie lui ordonnant dans son cœur d’agir pour ne pas laisser cette situation durer. Après tout, il fallait savoir être bon avec son prochain pour parvenir à rendre le monde meilleur. Même si cette idée pouvait paraitre quelque peu trop naïve en réalité. Une idée qui reflétait encore bien l’immaturité dont pouvait souffrir le géant bien qu’il était capable de compenser en partie avec divers autres moyens.

Jouant sur le ton amical qu’elle emploi et peut-être sur son sourire. Le chevalier aurait bien pu dire non à cela, mais sa patrouille se finissait au bout de la ruelle en question où il se tient et qui mène à la porte. Autant dire que rien ne pouvait l’empêcher dans son plus grand malheur que d’aider la jeune femme. Après tout le code était le code.

Et à la suite de sa demande, tout en s’étant présentée, la jeune demoiselle vint à demander le nom du géant d’or.



-En chanté de vous rencontrer dame Keshmet Arslan. Je suis le troisième siège, Vehuiah Mikael.



L’homme se met ainsi à réfléchir s’il doit ou non l’aider. Mais une fois encore le code revient dans son esprit et lui suggère de le faire sans quoi il serait en tort et en tant que troisième siège il ne pouvait pas se le permettre. Bien que jouer les guides ne soit pas vraiment sa tasse de thé.



-Je ne sais pas si je serais à la hauteur de vos attentes en tant que guide. Mais je vous prie de bien vouloir accepter mon aide dans votre entreprise.



De bien belle manière. Et il faut l’avouer il est presque comme ça avec tout le monde, sauf peut-être les membres de la division boréale qui semblent quelque plus primitifs dans leurs mots, mais non sans être justes pour autant. Un côté sophistiqué sur la culture de ces terres. Et des quatre divisons on peut certainement voir l’occidentale comme la plus entrecroisée des quatre. Mêlant presque un pan de chacune des trois autres. C’est du moins là une idée qu’a pu se faire l’ange de la mort.



-Par le plus grand des hasards, par quel lieu souhaitez-vous débuter ? Sans me donner un nom, il y a peut-être des choses que vous souhaitez et voir pour les comparer avec celles de votre capitale ?



Droit dans les yeux sans en détourner le regard, le chevalier observe la dame et attend sa réponse. Son regard peut se ressentir comme sans aucune honte ou gêne et d’un rare intensité. Car lorsqu’il s’agit du code, le chevalier répond toujours à l’appel de ce dernier.

Même si cela n’est pas toujours à son avantage et que la première fois qu'il a dû le faire au cours de sa carrière, fut lors d’une guerre où il sema la mort et où il avait pu constater la mort de ses camarades chevaliers.

Le quatrième siège austral semble assez différent des quelques membres de sa division que le géant d’or à pu rencontrer lors d’une certaine occasion. Non pas qu’il vienne à mettre l’ensemble des membres d’une division dans le même sac. Mais à ses yeux, il y avait un côté un peu trop frivole pour lui à supporter à la capitale du Sud. Qu’importe-là n’était pas le sujet, et il devait donc et ainsi servir de guide à cette jeune dame.

Sa première idée de visite fut celle de boutiques avant de revenir sur ses mots pour s’en alelr vers l’art. Un sujet que connait en quelque sorte l’homme en armure.



-Comme vous le souhaitez, que cela soit les boutiques u bien nos galeries d’art, je peux vous amenez aux deux lieux. Mais puisque vous le souhaitez nous irons donc dans un premier temps en direction des plusieurs galeries.



Sans attendre l’homme se place aux côtés de la dame et lui indique d’un mouvement de main la direction à prendre.



-Je vous en prie, c’est par ici.



Les politesses faites, l’homme s’en va l’accompagner jusqu’à la première galerie qui s’avère être une galerie d’art qui ne se constitue que de statues. Dans cette dernière, se trouve principalement des œuvres représentant la dernière guerre où l’on peut voir des chevaliers se battre corps et âme contre des dragons et des Hollows. Et par-ci et par-là se trouve même des statues de la Reine dans diverses situations, l’une étant durant un combat épique et l’autre étant quand cette dernière se tient sur son siège. Mais rien qui ne vienne à salir l’image de pureté qui émane de la Reine Capitaine. Croisant cette dernière assez souvent, même Mikael reconnait que les statues ne représentent pas assez la pureté et les vertus de la Reine d’Adalon.



-Je ne sais pas si la pierre est à votre goût, mais ici se tient avant tout des statues, des fresques et des miniatures de divers bâtiments et certains de nos récits. Dites-moi quand vous en aurez vu assez je pourrais vous menez à un autre lieu.



Attendant le temps qu’il faudra à la dame, il la conduit par la suite à une autre galerie où ne se tient que des peintures. Sur les tableaux on peut observer diverses choses, des paysages étant peint dans divers styles et variétés, des portraits subissant les mêmes conditions. Et des arts plus inventif et curieux qui se veulent représenter des choses sans les représenter directement. Ce dernier art n’est pas pour plaire à l’ange, mais il ne peut s’empêcher de qualifier d’art. Après tout, c’est un moyen comme un autre.

Laissant le temps à la dame d’observer le tout. Il décide d’enchainer à la suite alors que le duo marche d’ores et déjà depuis plus d’une heure.



-Si je peux me permettre, j’ose croire que vous souhaiteriez une brève halte afin de reposer vos jambes. Je puis vous proposer dès lors une terrasse qui propose les meilleurs chocolats chauds de la cité et au bord de laquelle se tient souvent une troupe de musiciens ou de théâtre qu’en dîtes-vous ?

Aux yeux de la dame, l’art semble y trouver sa place, du moins celui d’Adalon. Bien que le géant d’or ne sache pas réellement ce qu’elle peut réellement penser de tout ceci.

Mais semblait-il que toutes ces œuvres avaient su atteindre son âme étant donné le fait qu’elle aurait eu souhaité contempler cela des heures durant.



-Que nulle inquiétude vous gagne. Il y aura bien d’autres trésors et merveilles à découvrir dans notre belle capitale, l’art n’étant qu’une part de tout ceci.



Peut-être un peu trop hautaine au goût du chevalier, tandis qu’il a voulu se soucier de cette dernière par sympathie. Il en venait à ne pas relever cela par honneur et devoir. Le devoir prévalant parfois même sur l’honneur et venant salir ce dernier bien que la situation actuelle était loin d’être dans un tel cas de figure.

Menant la dame toujours plus loin dans le dédalle de rue où l’on pouvait observer de nombreuses petites boutiques par-dessus lesquels se trouvaient les logements de divers gens, la plupart du temps ceux travaillant dans la boutique juste en-dessous. Une pente par-ci, un escalier par-là, une traversée d’avenue. C’est en à peine une poignée de minutes que le duo se retrouve sur un lieu nouveau. Le trajet ayant connu plus de hauts que de bas, la nouvelle offrait une terrasse. Cette terrasse suffisamment grande pour accueillir un millier de personnes pour peu qu’on les serre n’en était une que parmi tant d’autres. Mais on pouvait depuis ses balustrades observer la nature et les environs de la capitale assez aisément. N’ayant que les bâtiments dans le dos à même niveau et le palais pour obstruer la vue.

Les pavés de cette terrasse nageaient dans les rayons de l’astre spirituel haut et grand dans les cieux. Laissant entrevoir comme des toits d’argent et d’or tant les reflets se faisaient présents à la vue de tous. Sans attendre un instant de plus, Mikael saisit l’occasion d’occuper l’une des tables qui se trouvait au bord du vide avec pour seule sécurité une balustrade en fer forgé. L’intérêt de la table étant de profiter de la vue avant toute chose. Et c’était même là l’un des coins où il aimait profiter de sa boisson favorite.

Et à peine le duo eut-il eu le temps de poser son derrière sur les chaises d’un des établissements. Qu’une serveuse se présenta à eux. Demandant alors ce que chacun souhaitait.

Sans aucune hésitation chez le géant et sans gêne malgré le côté enfantin de la boisson. Il saisit le menu pour pointer du doigt le chocolat chaud en chope.



-Je prendrais ceci je vous prie.



La serveuse tendait ainsi sa paume pour signifier sa demande. Une demande implicite et explicite à la fois qui ne voulait que l’argent dans la bourse du géant. Sans attendre il vint à déposer dans cette frêle main une pièce puis deux et enfin trois.



-Que prendrez-vous ? Si vous voulez autre chose que ce dont je vous ai parlé, il a de nombreuses boissons et même divers petits plats et sucreries.



Disait Mikael en se tournant vers la dame. Alors que la serveuse affichait un sourire pour aller dans le sens des propos du chevalier.

En temps normal il n’aurait pas pris de boisson et serait même resté debout, mais son service finit et l’idée de pouvoir se détendre quelque peu pour profiter d’une boisson ne lui étant pas révoltant. Il ne pouvait s’en empêcher. Mais se sentant coupable, il comptait tout de même offrir sa première boisson à l’Australe qui se présentait à ses côtés sur cette terrasse.



-Bien évidemment, je ne manquerais pas de vous offrir ce que vous prendrez en guise d’offrande de bienvenue. C’est à tout à fait naturel d’accueillir les gens de la sorte et j’en suis même certains que vous êtes d’autant plus accueillant par chez vous.

En définitive le choix de la demande auprès de la servante se veut assez simple. Une simple copie de la même commande que celle du chevalier bien qu’en réalité, elle y ajouta dès lors sa petite touche en augmentant son volume de commande par la présence d’une sucrerie. Une Reine gourmande, en précisant par la même un supplément de chantilly. Voilà bien une étrange demande, la chantilly étant quelque peu plus épaisse que l’on peut se l’imaginer et même lourde en bouche ou dans l’estomac. Il fallait croire, que la dame avait de quoi se défendre dans plus d’un domaine. Tout du moins plus que l’on ne pouvait se l’imaginer.



Mais les commandes en mains, la serveuse s’en va auprès des cuisines pour venir s’octroyer la demande de chacun. Tout du moins, dès lors que le chevalier d’or en vient à saisir d’autres pièces, qu’il confia dans les creux de la main de la dame. Et en moins de temps qu’il ne fallait pour y penser, la commande arriva sur la table du duo de faucheur d’âme.



-J’ose espérer que vous apprécierez votre commande, tant pour la boisson que pour la glace.



Laissant la dame commençait pour engager les hostilités à son tour. Il ne manqua pas de saisir son chocolat pour le boire. Une gorgée après l’autre, il vida le contenu de sa commande. La chope ayant de la contenance, suffisamment pour lui permettre de tenir un peu plus longtemps que d’ordinaire dans d’autres lieux il s’en va consommer pareille nectar.



-J’aime à penser que si je venais à me rendre sur votre continent, vous viendriez vous aussi me guider dans les ruelles de votre capitale. Bien que je ne sache pas si mon armure soit l’idéal ou non dans cette situation. Peut-être aurais-je un peu trop chaud non ?



Une phrase comme une autre pour passer le temps et pour agrémenter sa chope de la charmante compagnie qui lui faisait face. Bien qu’il n’eût pas la sombre idée que de venir oser penser ne serait-ce qu’une seule seconde à scruter la femme sur un autre plan que celui de sa fonction. Il était loin de ce genre d’attitude avec quiconque et à ses yeux en l’état actuel des choses, seules sa supérieure directe semblait parvenir à captiver l’attention du jeune homme.



-Je me demandais, mais comment se tient votre vie au sein des arides et chaudes de votre continent ? Je ne connais pas votre passé, mais j’ose croire que vous êtes originaire du continent désertique. Peut-être à tort ?



Une question comme une autre, pour en apprendre un peu plus sur la femme qu’il aide. Bien qu’il ne veuille pas vraiment parler de lui par la suite. Son cas lui important peu et n’étant nullement quelque chose de signifiant si ce n’est peut-être une histoire sans horreur et sans humour. En somme quelque chose d’ennuyeux. La laissant s’exprimer, il en vient à une troisième question.



-Que souhaiteriez-vous voir par la suite ? Ou bien peut-être souhaiteriez-vous arrêter là ? Après tout, vous en avez vu une partie suffisante pour occuper vos journées si j’ose croire. Bien sûr, il y a encore beaucoup à voir.



Dit-il alors que des musiciens s’en viennent s’installer et jouer du piano, de la viole et du violon juste un peu loin hors des tables de l’établissement où le duo déguste leur commande.

La glace et la boisson semblent tous deux être au goût de la princesse qui fait face au chevalier d’or. La dame fait remarquer ainsi au chevalier qu’il n’a pas répondu à sa question.



-Eh bien, je me dois de ne rien prendre d’autres, pour diverses et nombreuses raisons. Loin de moi l’idée que de refuser un repas aussi bref soit-il en votre compagnie. Mais il me faudrait avoir le ventre léger pour le reste de mes devoirs qui m’attendent. Et faire de l’exercice avec un ventre quelque peu alourdi par un aussi bon mets que votre glace ou tout autre chose provenant de ce restaurant ne pourra en rien m’aider je le crains fort. D’autant que le devoir m’incombe étant donné le fait que j’ai pu accepter de vous guider à ne pas négliger votre sécurité quand bien même vous ne risquez pas grand-chose en cette cité.



La femme souligne alors qu’en effet, l’armure ne sera en aucun cas idéale pour son lieu de vie, le continent Sud. Il faut dire que la chaleur est quelque chose d’assez incommodant. Et être dans une boite métallique, servant même à protéger, ne viendra faire qu’une cuisson à la vapeur en définitive, Mais le chevalier se demande s’il peut se permettre de lâcher pareille habit, surtout en territoire inconnu.



-Je ne peux me permettre de vous demander une tenue de cette manière-là. Non lorsque je viendrais, je ne manquerais pas de pouvoir profiter de vos artisans. Mais profiter ainsi de votre généreuse attention ne pourra que venir me gêner. Malgré je peux bien accepter si le souhait vous siée, de bien vouloir être mis en relation avec l’un de vos artisans afin que je puisse profiter de votre culture vestimentaire au mieux. N’ayant for malheureusement aucun contact en ce lieu.



Et devant le fait qu’elle puisse lui montrer les merveilles de la capitale Sud. La femme vint à refuser de manière polie, bien qu’elle semble lui indiquer l’un de ses camarades.



-Je vous remercie en ce qui concerne votre ami. Bien sûr, j’aurai certainement préféré que cela soit avec vous par le simple fait que je vous connais déjà plus que votre ami. Mais j’ose croire que je puis lui faire autant confiance qu’à vous. Bien que je me demande si je ne risque pas de le gêner en voulant lui demander de bien vouloir me montrer votre capitale.



Ainsi le chevalier vint à saisir le bout de papier en le lisant une fois avant de le ranger dans ses affaires.

La femme explique sa vision du désert. Une vision que ne partage pas Mikael bien qu’il n’ait pas non plus celle qu’elle peut décrire chez certaines personnes. Ce dernier n’ayant jamais pu mettre les pieds là-bas. Il ne sait pas vraiment ce qu’il en est de tout ceci et préfère se faire son avis par lui-même avant même d’oser émettre le moindre avis.



-J’ai envie de dire que oui et non à votre question. Je dois avouer que je ne ressens pas plus grand attachement ailleurs qu’ici. Mais vivre en un autre lieu que cette cité ne m’est pas une idée révoltante. Et donc lorsque je suis arrivé en ce moment si tel est votre question. Alors oui je suis bien originaire d’ici.


La femme vint dès lors à se lever et vint même à s’incliner pour remercier le chevalier.



-Voyons nul besoin de me remercier. Il est tout à fait naturel pour moi de vous aider si je le peux. Mais je vois qu’un certains désir vous hante. Peut-être puis-je encore vous aider d’une manière quelconque ? Un repas plus chaud pourrait peut-être vous convenir ? Ou bien alors la visite d’un autre lieu ?

Ne souhaitant pas insister plus que nécessaire, le géant d’or en armure étincelante avait pu remplir son devoir auprès de la dame et de la population de la soul society.



-Je comprends je vous souhaite ainsi une agréable découverte de la cité de notre Reine.



Sur ses mots, le soldat s’en va donc sans demander plus qu’il n’a déjà pu le faire. Il croise bien en chemin d’autres choses et merveilles qui pourront convenir au regard de l’orientale. Bien qu’il n’ait pas vraiment saisit le mental de cette dernière. Mais qu’importe, il ne cherche pas à en faire plus. Peut-être viendra-t-il à la recroiser ou peut-être pas.

Il n’est pas contre cette idée, même si au vu de ses propres aspirations, il sait parfaitement bien qu’il ne pourra rien faire pour s’empêcher de rejoindre celui auprès de qui s’en va véritablement sa loyauté.

Eh bien que cela soit une autre histoire il est certain que son engagement se trouve sans faille. Bien que juste derrière il a pu se trouver une certaine admiration pour non pas la Reine mais sa sœur qui n’est autre que la vice-capitaine. Une figure à moitié oublié et qui reste dans l’ombre de la capitaine de la division Ouest.



Ainsi quelque pas plus loin, il fait une brève salutation auprès de la dame. Puis il s’oriente vers les quartiers de sa division comme il se doit le faire pour finaliser son rapport quant à sa patrouille datant d’avant sa rencontre avec la dame du Sud.