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Alastor Pythios - Mouton noir

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Seizième Siège de la Division Occidentale
Pythios Alastor
Seizième Siège de la Division Occidentale

Pythios Alastor

Rang : B
Intelligence : A
Force : B
Expérience : 700
Esprit : B
Agilité : C
   

Pythios Alastor

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NOM : Pythios
PRÉNOM(S) : Alastor
ÂGE : Assez vieux pour vous tromper et assez jeune pour rester parmi les ombres. Si vous voulez savoir ça fait 316 ans que je suis plus dans le monde des vivants

RÉGION D'ORIGINE : Grecque (l'occident)
GRADE : Un grade pas très élevé, dans l'officiel, mais plus il est haut, plus il pourra rester proche de ses ennemis

TAILLE : 1m76
POIDS : 71 Kg
SIGNES PARTICULIERS : Si on me demande, je dirais mes beaux muscles, mais si vous voulez savoir j'ai une tache de naissance quelque part. où ça ? Peut-être le découvrerez-vous...

Description du personnage

Certains me diront que je suis un poil trop fier de mes origines. Mais que voulez-vous ? Je ne vais pas rester planquer pour votre bon plaisir. Je le fais pour ce que je fais et ça me suffit. En-dehors de ça. J'aime m'habiller comme à l'époque des anciens parfois. Si je l'ai vécu, je vous laisse lire mes mémoires qui sont bien planquées. Je suis parfois philosophe, souvent mathématicien, de temps en temps scientifique et maintenant un combattant. Mais je suis surtout quelqu'un de très mystérieux, mais je ne vais pas faire dans la dentelle si je dois passer à l'action, si je dois me salir les mains pour ça, soit. je le ferai. J'ai trop hésité de mon vivant. Je ne serai plus cette paillasse. Je dis que peu de choses me concernait. D'autres vous diront que je suis fourbe ? Ai-je vraiment l'air d'être un petit rusé ? Oh, je dirais simplement que j'utilise mon cerveau et parfois mes muscles. Tant que je peux m'écarter du carcan trop étroit de la Soul Society. Je me suis toujours douté qu'il avait anguille sous roche. Et ce n'était pas moi. Mais qu'essaye de convaincre ? Des gens buttés ? Alors inutile de palabrer. Je ne vais pas m'embarrasser de ces futilités. Si ça fait de moi un rusé, alors, je le serai. Mais je ne serais pas ceux qui s'enorgueillissent. J'ai d'autres choses à ne m'occuper que ces rumeurs. Tant que ces dernières ne nuisent pas à mes activités, je les laisse se faire. Mes cheveux ont l'air bleu certes, mes pupilles écarlates, je dirais plus qu'elle sont brune avec un soupçon de rouge. Je ne suis point expert des couleurs. Je laisse ça à d'autres. Les puissances ne sont là que pour nous reprimer. Et ça je ne l'accepte pas. Notre liberté elle est jetté avec l'eau sale ?

Histoire du personnage

Dire quand je suis né. Je l'ignore totalement. Je suis de ces personnes qui n'ont pas eu de parents. Je me souviens seulement que j'étais souvent chez un vieil homme qui dispensait son savoir. Mais même en l'imaginant plus jeune, je n'étais pas sûr qu'il soit mon géniteur. Les rues étaient pleines de soldats dans une tenue carmin et d'argent. Ces guerriers, je ne sais pas si je devais les admirer ou non. Je sais qu'ils sont là depuis un moment déjà, je devais respecter l'ordre. Je n'étais qu'un enfant d'un vieux tuteur.  En tant qu'enfant curieux, j'en ai fait des bêtises, n'en déplaise à celui que je nommais parfois père. Il ne l'était pas, il n'insistait pas tant dessus. Je crois qu'il a fini par s'y faire. Ce vieil homme devait être fatigué de combattre mon insistance. Fier de moi, je pouvais le compter comme un adulte qui s'occupait de moi. Il y avait aussi quelques dames qui s'occupaient de moi. Des dames pas souvent de très haute naissance. Je dois avouer qu'il avait souvent des couleurs plus foncées dans mes yeux d'enfants. Point de me choquer plus que ça. Elles ont été là quand j'en avais besoin. Quand je me blessais. J'étais de ces enfants qui voulaient tout tester. Ça comprenait des choses plus ou moins dangereuses. On me disait à l'époque que je courrais après la mort. Pas vraiment. De mon impression à l'époque dans cette province bordée par la mer, c'était que les plus hauts étaient cruels avec ces gens si différents par leur apaprence extérieure. Quelle injustice. J'aurai fait tout pour elles, pour mon tuteur. Même combattre ces hommes recouverts de plaques. Certains diront que c'est la faute de cet homme que je nommais père. Qu'il n'avait en rien stoppé ma curiosité enfantine, ni à mes colères. Je pense que sans le savoir. Je voulais prouver à ce monde qu'il gagnait à se connaitre un peu plus. Si je trouvais le traitement des esclaves comme injuste. Parfois oui. Ça dépendait de beaucoup de choses, certains semblaient si heureux. Certaines femmes étaient amoureuses de leur maître. Mais à part être une conquête temporelle, peu finissaient par conquérir les maîtres, nobles ou simples marchands. C'était le même combat pour ces gens en soif d'un monde meilleur, dans la province d'Omnis. Moi j'étais bien avec ce vieil homme. Mais l'âge avançait pour lui à une vitesse alarmante. La personne qui viendrait le relayer en tant qu'instructeur serait-il aussi bon pour me laisser là. Moi, l'enfant dont on ne savait rien ?
Quand il s'endormait alors que j'avais environ dix années, je savais qu'il ne lèverait plus. Que son lit était le lieu où son âme vient rejoindre les autres dans l'antre d'un dieu, ces personnes ne faisaient rien pour les hommes, dévais-je les croire ? L'histoire changeait. Parce que c'était la mienne, moi, l'enfant de la ferme. L'enfant qui servait de palfrenier. Je pouvais tout entendre, les nobles sont tellement fiers que s'en est dégoutant. Je ne blesserai pas les cheval. Mais du matériel abîmé, ils ne voyaient que du feu, pas trop régulièrement. Je savais utiliser mon joli vissage pour les faire plier. Trop facile. J'étais dans mon esprit un peu conquérant. Grand et fort. Comme j'avais tort. Se casser les dents sur la réalité était dure pour moi. Mais je devais passer par là. Parce que même moi, je ne suis pas infaillible.
Quand vinrent des instants plus sombres pour moi, il faut dire que les hormones ne sont pas toujours sympas en soi. Il faut dire que le côté pieu ne semble pas très ouvert sur beaucoup de sujets. Être si limité était quelque chose de normal ? Les limites peuvent être dépassées sans pour autant tuer, en quoi faire certaines choses menaient à la damnation. Moi je ne laisserai personne me diriger comme ça. Je n'ai jamais compris pourquoi ces croyances pouvait être la voie à suivre. Si être vivant n'était pas déjà un poids pour les autres. Enfin, Je pouvais comprendre que c'était compliqué pour eux, ils sont si coincés comme leurs chevaux dont il semble si proches et si éloignés. Pour moi-même aussi. Je ne pouvais pas m'empêcher de m'épancher sur les courbes d'un corps. Puis d'un autre. Je suis passé par là. J'en suis un peu navré avec le recul. Mais c'était plus fort que moi. Je suis curieux. C'est un mal comme un bien. Me plonger dans les parchemins m'évitait toujours le pire comme le meilleur. Mais j'y prenais du plaisir, tout ça en secret, que je lise était rare pour un petit palfrenier. M'instruire faisait partie de ce feu que m'avait transmis ce vieil homme attaché à ces histoires. Sa passion pour la connaissance. Alors tout se faisait avec les parchemins. Beaucoup sont attachés à l'ancien. Je peux comprendre dans une certaine mesure. Mais j'ai envie de dire que le monde avance. Et heureusement. C'est dans cette idée que j'ai avancé dans ma vie. M'enrichissant mentalement des réflexions qui me traversaient, que mes camarades venaient à me partager de temps à autre. Partager semblait quelque chose qu'on faisait souvent quand quelque chose nous préoccupait. Avoir une idée en tête plusieurs de suite, ça avait de quoi se poser un millier de questions. Bien que mon maître soit plus versé aux nombres et ça qu'ils peuvent faire ou non, ce vieux fou, ce noble qui achetais mes services pour une misère. Il ne me freinait pas dans mes réflexions au moins. Ça formait la jeunesse. Qu'on devait aussi trouver une personne pour partager notre vie. Une femme de préférence. Je ne me plierai pas à ça. Parce que je ne veux pas totalement suivre les préceptes religieux. De cette société. Mais le criais-je sur tous les toits? Non. Je ne suis pas suicidaire. Par tous les saints ou dieux possibles, je n'oserais pas me jeter sous les armes de ces gens.
Pourtant quelque chose mit fin à ma vie. Et ce n'était pas une maladie. Je faisais tout de même attention. Je me suis confié plusieurs fois à une autre disciple. Des réflexions qui me traversaient. Et c'est sûrement lui qui m'a mené à ma fin. Celle où je vois de trop près les armes que j'ai tant voulu éviter. De tout l'Empire qui semblait se faire entre nobles, je ne me suis jamais aussi mal qu'à ce moment. Garder le secret de mes pensées était vraiment essentiel. Et j'avais évité trop longtemps ce qui m'attendait. Ce qui me pendait au nez. J'aurais dû mourir sous les coups de fouet d'un maître. Moi l'enfant dont on ne savait rien. Alors par pure provocation, je les ai regardés, je les ai insultés, je n'avais plus rien perdre. Pas maintenant que la vie me quittait. Je leur ai dit une dernière fois que l'homme ne cesserait jamais de penser. Qu'avec ou sans arme, il y aura toujours quelqu'un qui doutera de tout. Que moi Alastor. Je laissais la place à d'autres. Car je me doutais que je n'étais pas le seul. J'étais qu'une âme parmi tant d'autres. Je me promettais aussi que s'il y avait moyen, je m'intéresserais dans une autre vie aux armes pour me défendre et parfois attaquer. Au combat. J'ai manqué de force. Pourtant je faisais en sorte d'être assez fort pour continuer à faire les choses moi-même. Mais pas assez, malgré ma force. Je laissais la vie sous ses lames. Les sangs réchauffant mon corps qui venait à se refroidir. Aussi froid qu'une pierre l'hiver. On était en 502. Je n'étais pas si jeune. Pas si vieux. Mais je pouvais me sentir fini dans le monde des mortels.
Le monde des morts, il n'avait rien à voir ce que pouvaient décrire les pieux. Si je n'avais pas la douleur de mon trépas, j'aurai pensé à un joli songe. Peut-être que je me serai cru de retour sur terre. Mais il y avait des détails qui n'allaient pas. Et surtout la douleur de ma mort qui restait dans la gorge. Ai-je eu des regrets? Je n'en suis pas sûr. Tout s'était passé trop vite. C'est fou comme le temps peut sembler long selon ce qui arrive. Je me souviens de cette perte de vie qui avait duré un moment. Mais pas une seule fois, j'ai eu des regrets. Je voulais me lever. Me venger d'une certaine façon. Et là, je serai sans pitié. Quitte à faire le ménage après moi. Ma colère me mennait par le bout du nez. Je ne suis qu'une âme. Une âme qui était bien loin de suivre ce qui se passait en premier lieu. Ce n'est qu'après un bon moment que j'apprenais malgré moi ce qui secouait la société où j'étais. Le conflit qui engageait les shinigamis et leurs ennemis. Bien sûr, j'avais voulu apprendre à me défendre. Alors j'ai penché plus pour des cours pour devenir un guerrier de la première catégorie. La deuxième avait ses raisons. Mais le dire? Je ne pouvais pas l'assumer avec ma force actuelle. J'ai trop de manquements. Apprendre des techniques de combat et d'immobilisation était très pratique. Je me spécialiserais dans les deux. Une pour défendre, la deuxième parce que je l'aimais bien. Les techniques de kido me vont bien. Même trop bien parfois. Mais bon, je les aime bien. Bien que soit devenu plus fort physiquement dans cette après-vie. Je ne souhaite pas une brute épaisse. J'aimerai toujours utiliser ma cervelle. C'est comme ça que je fonctionne. S'il faut se battre, je le ferai. C'est tout. Mais dois-je aller au combat, l'espoir de montrer ce de quoi je suis capable ? Je suis plus mature que cela. Je laisse d'autres se mettre en avant. Je fais juste mon travail, point final. personne ne m'arrachera ce qui me tient à coeur.
Je ne sais pas quand je me suis détaché un peu plus des Shinigamis. Mais je sais que ça s'est fait assez vite. Parce que je n'aime pas qu'on m'impose trop de choses. Les croyances des anciens. Tout ça était qu'une façon de voir. Vivre en pleine nature comme l'encourageaient les dragons. Je ne suis d'aucun camp. Je suis mon propre camp. Chaque camp à ses avantages et inconvénients. Autant prendre celui qui me permettra de me développer dans le bon sens. Loin de toutes ses intrigues plus ou moins bonnes. Ce monde n'est que gris. Bons comme mauvais, tous finiront par revenir sur terre. Mon tour viendra un jour. Je ne me fais pas d'illusion. Si j'ai combattu ? Oui et non. J'ai agi toujours pour me protéger, protéger ceux qui arrivaient à titiller ma curiosité. Des gens qui n’étaient pas toujours clairs. Et ça m'allait parfaitement.
Ce qui m'amusa pourtant, c'était qu'une organisation vient à moi. Je sais que la discrétion était de mise. Alors, pourquoi vouloir de moi ? Peut-être qu'à force d'attirer un peu l'attention, je pourrai servir. Comme un leurre. Certes, je suis devenu fort. Mais c'était pour me défendre. J'étais paré à utiliser le Kido pour immobiliser les personnes qui me faisaient face. Mais le nom de l'organisation titillait un sourire sur mon délicat visage. Une déesse des anciens comme nom. Ça me rappelait mon maitre. Une douce chaleur s'alluma en moi. Celle de trouver un peu de ce foyer qui me manquait parfois. Je n'avais pas trouvé le vieil homme. C'était la seule personne que j'avais voulu revoir. J'espérais que ce dernier allait bien. Ou qu'il soit déjà de retour sur terre. Maintenant on souhaitait ma présence. J'acceptais cette main tendue. Celle que lui tendait cette institution. J'étais un libre penseur et le resterais. Ennemi ou allié. Personne ne saurait. Mais tant que mon second foyer pouvait continuer à vivre. Je faisais tout pour y parvenir. Même me glisser dans des situations dangereuses. Je n'étais plus un pleutre qui se cachait derrière mon incroyable maniement des mots. J'étais un peu plus que ça. Et ça m'allais parfaitement. Un jour, je pourrai dire à ce second père à quel point j'étais fier d'être devenu un membre de cette famille de l'ombre. De cette famille autour de moi. 

Hors RP

AVATAR : Dr. Ratio (Honkai Star Rail)
RANG DEMANDÉ : C ou B
PSEUDO(S) : Ruru
COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? Une certaine fonda m'a parllé il y a moment du fofo qu'elle faisait. Et moi il m'a fallu longtemps pour craqquer ptdr
SCÉNARIO/PRÉDEFINI ? Scenario 11 (prévisible quand on me conait un peu)
QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? Il est très joli ~


Dernière édition par Pythios Alastor le Dim 31 Mar 2024 - 21:36, édité 1 fois
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Tsumi no Sensou
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Tsumi no Sensou

Expérience : 99999
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Rebienvenue sur Tsumi no Sensou !

Tout d'abord, désolé du temps de réponse, nous n'avions pas vu que ta présentation était terminée !

Ce fut très intéressant à lire, notamment par rapport à ce vieil homme, la manière dont Alastor pense toujours à lui, et le lien opéré avec cette nouvelle famille que pourrait être Nemesis.

Avant de te valider, il faudrait toutefois opérer un certain nombre de changements ou de remaniements : le monde de TnS n'étant pas le monde réel, il n'y a donc jamais eu de grecs, de romains ou de chrétiens. Après, tu peux adapter en inventant toi-même une province d'Omnis (le continent plus occidental), ou un culte qui aurait été pratiqué à cet endroit inspiré du Christianisme, tant que cela reste mineur sans rentrer en conflit avec le reste du lore (notamment au niveau des continents, du Salutisme et de l'époque, 502 étant relativement "tard" et loin du monde antique par exemple ; ce serait davantage le moyen-âge).

Comme Nemesis est une organisation criminelle, il faudrait également développer cet aspect chez ton personnage, pour expliquer comment il se serait fait recruter. Le background du scénario implique effectivement qu'il soit "noir" plutôt que "gris", amoral ou au moins pragmatique/transgressif. Il faudrait que cette nature ait pu être perçue par l'organisation. Disons que c'est plus un scénario de mercenaire près à faire du sale, que de philosophe qui se considèrerait neutre.

Je te laisse librement modifier à ta convenance, et encore désolé pour la réponse tardive !
Seizième Siège de la Division Occidentale
Pythios Alastor
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Pythios Alastor

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Bonsoi (ou bonjour)

J'ai modifié ce qui fallait, je crois.

Et merci o/
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Tsumi no Sensou
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Parfait (il restait juste une mention des romains mais c'était juste un oubli que j'ai édité) ! Dès la description, ça plante le décor : "si je dois me salir les mains pour ça, soit. je le ferai. J'ai trop hésité de mon vivant. Je ne serai plus cette paillasse." xD

On perçoit bien comme Alastor a grandi en territoire occupé, où la liberté de pensée était réprimée, tandis que son esprit rebelle se développait progressivement jusqu'à sa mort et même au-delà. Comme il a pu garder des souvenirs de sa vie antérieure, il n'est pas étonnant qu'il considère la Soul Society comme le même genre de force oppressive, ou qui ne vaut pas mieux que les autres factions, menant plus tard à son recrutement par Nemesis où il trouve enfin une communauté qui lui correspond.

J'ai aussi adoré la phrase "Me plonger dans les parchemins m'évitait toujours le pire comme le meilleur." et ce qu'elle peut impliquer.

Je te valide Rang B en tant que Seizième Siège de la Division Occidentale ! Ta fiche technique sera créée dès qu'Arwing aura résolu certains soucis xD
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